Ce texte examine deux reportages des photographes James Balog et Michael Nichols, de la revue National Geographic, sur les animaux sauvages dans des parcs zoologiques pour questionner ce que nous enseigne les dites photographies d′animaux à propos de la place réservée à la vie sauvage dans la culture contemporaine. Partant des considérations du philosophe français Didi-Huberman et d′études sur la domestication, on cherche à apporter des éléments pour comprendre l′objectif éducatif de la photographie d′animaux.
Parcs zoologiques; Photographie animale; Préservation animale; National Geographic