Le travail vise à vérifier comment un supposé «consensus de gauche» en vigueur au Parlement brésilien depuis l’Assemblée constituante de 1988 s’est manifesté ces dernières années. À travers la confrontation des résultats de recherches qui adoptent des méthodologies basées sur l’auto-déclaration des partis, sur l’avis des experts et sur la perception de l’électorat, on aperçoit une claire perturbation de la soi-disant «auto-répression de droite», principalement après la montée au pouvoir de Dilma Rousseff, en 2010, et après les grandes manifestations de juin 2013 et l’arrivée de Jair Bolsonaro au pouvoir en 2018.
Guerre Culturelle; Discours Politique; Parlement; Bancs Parlementaires; Conservatisme