Préface[...] le bruit que l’Homme-Machine a fait en Hollande m’a porté à combattre le Matérialisme. (1748, [iv])20
Advertisement[...] at the time when religion and infidelity overspread the land [...] the publication of [these papers] needs no apology.(1752, [i])
PréfaceEn effet, la nature de l’intelligence et celle du Corps ne diffèrent-elles pas assez pour que leurs modifications soient désignées par des mots, qui, au lieu de les confondre, en donnent des idées distinctes ? (1748, [vi])
AdvertisementAnd, indeed, the nature of a thinking faculty, and that of the body differ so widely, that there is not the least room to doubt, but their respective modifications ought to be expressed by words, which, instead of confounding, may serve to convey distinct ideas of them. (1752, [ii])
Posons pour un moment que dans ces maladies la pensée s’éteigne par la perte du sentiment, cela n’aura du rapport qu’à la pensée qui résulte de la sensation : mais est-il prouvé par là que la pensée dépend du sentiment et qu’elle ne peut avoir lieu sans lui ? Bien loin de là ... (1748, 56)
And let us suppose [...] that, in these disorders, thought is extinguished by the loss of sensation, this can only relate to that species of thought which results from sensation but does not prove, that thought depends on sensation, and cannot subsist without it. (1752, 42)
Mais sera-ce un argument pour nos adversaires ? En pourront ils conclure que cet animal a une âme spirituelle, qui diffère seulement du plus et du moins de celle des Hommes ? Non, ou du moins la conclusion sera téméraire. (1748, 72)
But this is nothing in favour of our adversaries ; they cannot, from this, conclude, that an animal has a spiritual soul, which only differs, more or less, from that of man; or if they do, their conclusion will be rash. (1752, 54)
Une personne de Groningue, que j’ai parlée [sic] à Deventer ... (1748, 52)
A certain person told me... (1752, 40)
[Je] me contenterai de faire un essai de mes forces sur un petit nombre d’années d’études en philosophie. (1748, 94)
[I] shall only give a specimen of my own sentiments, founded on my own researches. (1752, 68-69)
[...] ce qui est démenti par des observations qu’on trouve dans les Transact. Philosoph.
et par d’autres qui ont été faites en Hollande. (1748, 105)
[...] which is shewn to be false, by the observations in the Philosophical Transactions. (1752, 76)
L’homme machine (repris tel quel dans L’homme plus que machine) ... un être [l’animal] à qui la nature a donné un instinct si précoce, si éclairé [...] ne montre-t-il pas clairement [...] qu’il connaît le bien et le mal ? Son âme, qui semble marquer comme la nôtre, les mêmes joies, [...] serait-elle sans aucune répugnance à la vue de son semblable déchiré [...] ? (1748, 75-76)
Man a Machine (London : Owen) ... a being [= an animal] on whom nature has bestow’d an instinct so early ripe, so full of insight [...] does not such a being as this give us the clearest demonstration [...] that it knows a right and a wrong ? This being has a soul, which, like ours, feels the same joys [...]and can we help concludingthat this being will feel an inward horror at the sight of any of its own species torn to pieces [...] ? (1749 , 38-39)
Man more than a Machine “... a being to whom nature gives so fine an “instinct [...] shews plainly [...] that he “distinguishes between good and evil. His soul, “which, like ours, seems to feel the same joys, “would not surely be without uneasiness on “seeing a creature like himself torn to pieces [...] (1752, 57)
L’homme machine (repris tel quel dans L’hommeplus que machine) ... qu’y a-t-il absurde à penser que des êtres, des machines presque aussi parfaites que nous, soient comme nous faites pour penser ? (1748, 76)
Man a Machine (London : Owen) ... there is nothing absurd in supposing that beings, who are as perfect machines as ourselves, are fram’d to think like us.(1749, 35)
Man more than a Machine “... there is nothing absurd in supposing that “beings almost as perfect as ourselves, are, like “us, designed for thinking. (1752, 57-58)
L’homme plus que machine[S]i l’imagination est la partie fantastique du cerveau, comme il [l’auteur de L’homme machine] le dit page 38 (1748, 36)
Man a Machine (London : Owen) [I]f the imagination, or that fantastical part of the brain... (1749, 28)
Man more than a Machine “[I]f the imagination is the fantastic part of the “brain, as is said page 28... (1752, 27)