Mon but est d'étudier comment la musique populaire, par des échanges culturels qui marquent la construction des identités attribuées à des groupes et des lieux, définit les liens et limites dans le tissu urbain tout en montrant les chemins tracés par les musiciens qui passent à travers. À cette fin, j'ai opté pour l'étude formelle et contextuelle de deux chansons des Beatles, Strawberry Fields Forever et Penny Lane, productrices des significations sur "lieux" et qui ont rassemblé des mémoires et des identités basées sur leur expérience comme citadins dans le déplacement, dès leur passé à Liverpool jusque leur présent (à ce moment-là) à Londres.
musique populaire; espace urbain; histoire; mémoire