Résumé:
Cet article reprend idées proposées par le critique et érudit de danse André Lepecki (2008), afin de réfléchir sur les limites de la compréhension d’un refus du mouvement comme une manière de rompre avec la modernité et avec une certaine notion de chorégraphie. Pour cela, il est proposé une lecture critique de la narrative de la histoire de la danse développé à cette œuvre, pour ensuite, être proposés aucunes distinctions conceptuelles sur la notion de mouvement, afin de défendre que l’articulation entre danse et mouvement n’est pas univoque e n’a pas plus toujours les mêmes implications politiques ou conceptuelles.
Mots-clés:
Danse; Mouvement; Chorégraphie; Critique; Modernité